La Perle des Grèves : huîtres de Cancale de qualité !

Il arrive régulièrement que, pour se faire plaisir lors d’une soirée en petit comité, vous ayez envie de commander un plateau de fruits de mer.
Très bonne idée, mais voilà. Trouver de bons produits frais est parfois difficile. Pas simple de faire confiance lorsque l’on a envie de se faire plaisir. Notamment lorsqu’il s’agit d’huîtres… Comment les ouvrir, comment les choisir, à quoi correspondent les numéros… Pas toujours simple de s’y retrouver.

Pour être sûr, mieux vaut miser sur des productions familiales ! C’est l’histoire de La Perle des Grèves qui propose depuis trois générations la classique huître de Cancale, ainsi que des moules AOP de la baie du Mont Saint Michel. Côté huîtres, vous en trouverez des plates, des creuses et des sauvages. Pour les déguster, vous pouvez les accompagner de pain de seigle, d’un peu de beurre ou d’aïoli, et d’un petit verre de Muscadet à consommer bien sûr avec modération.

La Perle des Grèves propose différentes tailles d’huîtres : de 0 à 5. Ces chiffres font référence à la taille des huîtres. Plus le numéro est grand, plus l’huître est petite ! A vous donc de choisir le calibre en fonction de ce que vous voulez en faire : les déguster crues ou les cuisiner…
On considère généralement l’huître numéro 4 comme petite mais charnue, la rendant idéale pour les consommateurs occasionnels d’huîtres. Vous pourrez la servir facilement en apéritif.
L’huître numéro 3 quant à elle, est celle qui est la plus commune et qui a le plus de chance de satisfaire vos invités.  Si vous conviez des amateurs à votre table, optez pour l’huître numéro 2. C’est la plus charnue et gourmande !

En plus de ces deux produits phares, le producteur vous propose également des plateaux de fruits de mer, des coquillages, de l’épicerie… le tout livré dès le lendemain, dans le plus grand respect de la chaîne du froid. Si vous avez la chance de vivre en Bretagne, deux boutiques vous accueilleront à Dinard et Saint-Benoit.

Crédit photo : La Perle des Grèves

Laisser un commentaire

  1. Ce qui est dommage, ce sont leurs huîtres triploïdes (« quatre saisons » non laiteuses), à fuir

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Close
Close